Constellation des Mille Marées
Cette Constellation évoque des histoires de marées vivantes, de petites fleurs uniques, d’horizon infini, de forêt riveraine et de lueurs nocturnes magiques.
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À propos de cette constellation
- Lieu: Saint-François-de-l'Île-d'Orléans
- Durée approx.: 2 heures
- Niveau de difficulté: Intermédiaire
- Nombre de km: 5 km
- Type: Ligne
Découvrez les 12 stations
Le magnifique et sauvage littoral nord
Le couple Duchesne/Robitaille décrit les paysages enchanteurs du côté nord de l’île où il réside, les montagnes, les villages, le fleuve immuable.
En complément, la chanson «L’île » est interprétée par Mme Paule Laperrière, une artiste de l’île d’Orléans.
Bleu, la couleur de l’inspirante île d’Orléans
Le couple Duchesne/Robitaille témoigne de l’inspiration artistique que leur procure l’île. Il s’exprime aussi sur leur bonheur de faire partie du regroupement BLEU et de participer à des projets artistiques collectifs.
Une description du Regroupement BLEU complète son témoignage.
Le patrimoine, c’est du bonbon
Le couple Normand/Morin se souvient comment il a été séduit par la vieille école de Saint-François. Puis il raconte les étapes de la restauration de ce bâtiment ancestral qui leur a permis de l’habiter et d’y ouvrir une confiserie.
En complément, une question quizz teste vos connaissances sur le site patrimonial de l’Île-d’Orléans.
La particularité historique du village
Pierre Lahoud explique que le discret village de Saint-François, avec l’église comme repère principal, illustre la réalité rurale du Québec avant 1850, où les gros villages étaient rares.
Une anecdote écrite s'ajoute à ce témoignage.
Enraciné à l’île depuis toujours
Jean-François Labbé décrit le savoir traditionnel des ancêtres qui par la seule observation du fleuve et du ciel pouvaient prédire la météo du lendemain et l’ampleur des marées.
Une courte explication sur les marées complète ce témoignage.
Bonheur paisible à Saint-François
Le couple Normand/Morin raconte leur joie de vivre à Saint-François, ce bonheur simple qui repose sur l’entraide, la beauté des paysages et la quiétude des lieux, surtout en hiver.
Poème «L’Île » composé et lu par Mme Carole Trahan, une résidente de l'Île d'Orléans.
Un fleuve difficile à naviguer
Pierre-André Fortier précise les écueils et les difficultés qui rendent hasardeuse la navigation sur le fleuve. Au point qu’il est obligatoire de recourir au service des pilotes du Saint-Laurent.
Une carte marine avec explications illustre ce témoignage.
Le quai d’autrefois
Le quai, tel qu'il était au début des années 1900, est représenté en réalité augmentée.
Des photos d'archives sont aussi disponibles.
Apprendre à naviguer comme ses ancêtres
Lucien Lachance témoigne de tout ce que son père lui a appris sur la navigation entre l’île d’Orléans et l’archipel de Montmagny. Il en maîtrise aujourd’hui tous les aspects, quelles que soient les conditions de navigation.
En complément, une courte vidéo présente un survol aérien des îles Madame et au Ruau.
La tradition de la pêche à l’anguille
Jean-François Labbé explique comment il a appris de son père et de son grand-père à installer et à utiliser un por de pêche pour capturer des anguilles. Il est l’un des derniers à avoir pratiquée cette tradition autrefois très répandue mais aujourd’hui disparue à l’île d’Orléans.
Un texte sur la légende de l'Île aux sorciers complète ce témoignage.
Côtoyer le fleuve au Camp Saint-François
Michel Proulx énumère les activités qui mettaient les jeunes campeurs en contact avec le fleuve et le littoral, dont la proximité ajoutait plusieurs possibilités aux activités offertes aux jeunes du Camp Saint-François.
Un album photos illustre ce témoignage.
Le littoral, un milieu de vie très spécial
Sabrina Doyon explique l’importance de la zone tampon que constitue le littoral, un habitat très riche qui joue un rôle de filtre naturel. Autour de l’île, l’ampleur des marées confère une étonnante diversité à ce milieu naturel.
En complément, un schéma explicatif illustre ce témoignage.